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Reprendre Souffle

suite à un burnout

Le burnout est un fléau dont tout le monde a entendu parler.

Qui ne connaît pas un proche touché par cet épuisement profond et généralisé qui donne à celui qui le subit le sentiment d’être complètement
« à côté » de tout ce qui fait la vie ? Les séquelles laissées par cette épreuve sont longues à s’estomper et à assumer. La fatigue physique et psychologique, le sommeil, la concentration, la mémoire, les relations à soi-même, les relations aux autres, etc. tout cela doit être revivifié et demande du temps.

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Pour qui ?

Pourquoi à Bassac ?

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Comment ?

  C’est en partageant la vie simple et sobre de la communauté de Bassac, les repas, le travail, la détente, la prière, que ce temps de consolidation personnelle sera donné. Chacun, dans un dialogue, s'y engagera selon ce qu'il voudra/pourra vivre.
L  es journées sont rythmées par des horaires réguliers : repas, temps de prière, temps de travail, temps de détente. Ces horaires réguliers, de 8h00 à 21h00 environ, vécus chaque jour par la communauté pourront être un facteur de restructuration, étant un guide pour chacun.
Il sera donné à chacun d’être écouté, gratuitement. Les repas où l’on prend son temps seront un lieu privilégié pour ces partages. Il ne s’agira pas ici de trouver des solutions mais seulement de recueillir ce qui a été vécu ou ce qui est encore vécu par les personnes accueillies. L’écoute gratuite, ici sans
nécessaire solution à trouver, est un bienfait.
La communauté entrera aussi avec discernement dans le partage de ce qu’elle vit elle-même. La reconstruction en effet ne se vit pas seulement par l’écoute mais aussi par la confiance accordée.
Participer aux joies, aux questionnements, aux travaux de la communauté, qui seront partagés avec discernement, sera bienfaisant pour les personnes accueillies. Dans ces échanges, il y a comme un « effet-miroir » apaisant : « je ne suis pas seul à ne pas savoir », « je ne suis pas seul à ne pas comprendre », « je ne suis pas seul à être dépassé », etc…
Le repos et la détente ne seront pas oubliés dans les propositions qui seront faites. Là encore, selon les goûts et les possibilités de chacun : promenade à pieds (forets ou vignes), promenade en vélo, promenade en canoé-kayak, baignade, visites régionales variées, etc… Bassac offre une large panoplie d’activités en tout genre. Pour cela, il est préférable de venir avec sa propre voiture.
Bassac aujourd’hui, certainement pour quelques années encore, est en reconstruction. Il y a tant à faire ! La réfection extérieure de cette grande bâtisse qui se fait peu à peu, jour après jour, est comme une parabole de la vie de chacun qui peut se reconstruire également peu à peu. Avec les « bons matériaux », il est possible de rénover et de se rénover !
C’est donc dans la perspective d’une écologie intégrale que chaque personne sera accueillie en TOUT ce qu’elle est : en son corps dans ses liens avec le repos, les repas, les jardins, le travail, etc. En son âme dans ses liens avec elle-même ; en son esprit dans ses liens avec Dieu. Chacun sera accueilli selon ce qu’il est.

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  L’abbaye de Bassac se propose d’être un « lieu-passerelle » pour les personnes étant sorties de la crise aiguë du burnout mais ayant encore besoin de temps pour se réajuster à la vie dans le monde.

  Le site de l’abbaye est en lui-même un soutien. Sa beauté et sa prestance sont reposant et apaisant. « A Bassac, les pierres parlent » dit-on. Nombre de visiteurs, quoi qu’il en soit de leurs convictions
religieuses, le soulignent. Un petit cours d’eau, le « Canal des Moines », qui serpente dans l’abbaye, les jardins, le silence, le vieux village qui l’entoure, les vignes voisines, les oiseaux, tout vient contribuer à la
paix qui se dégage du lieu. Dans ce hameau de Charente, à une demi-heure d’Angoulême, il fait bon vivre.

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 Aides extérieures possibles

Pourtant des personnes aidantes professionnelles seront disponibles, en fonction des demandes personnelles : outre les membres de la communauté formés à l’écoute, un praticien Vittoz, un médecin, une personne formée à la CNV, ……
Financièrement, toute demande faite sera réglée par la personne elle-même.

Durée des séjours

La durée du séjour sera au minimum d’une semaine. Il faut du temps pour lâcher prise, vivre ce qui sera proposé à Bassac et surtout en percevoir les fruits. Une première semaine sera reconductible suite à un entretien où un bilan sera fait. Tout écart (violence physique envers une autre personne, emploi de
drogue, isolement absolu) sera un motif de renvoi.

ATTENTION !
Bassac ne sera pas un lieu médicalisé. Pour cette raison, les personnes reçues devront certifier d’un propre suivi médical, devront être libres de toute dépendance (drogue, alcool….) et avoir également l’avis positif de leur médecin traitant pour être ainsi reçues à l’abbaye dans un lieu type « communauté
de vie non médicalisée ».
Dans la mesure où il s’agit d’intégrer cet accueil au sein d’une vie familiale, il se peut qu’il n’y ait pas de chambre disponible immédiatement et qu’il vous faille attendre pour qu’une chambre se libère.

Participation aux frais


La participation aux frais de séjour dépend de la durée du séjour. En tenant compte de la situation financière de chacun, elle permettra de couvrir l’ensemble des frais de séjour (logement, nourriture, énergie, accompagnement …). A titre indicatif, une journée en pension complète est estimée à 60 €, ce prix ne tenant pas compte des demandes d’aides extérieurs qui pourraient être faites par les personnes résidentes.

Contacter la communauté

50 Rte de Condé, 16120 Bassac

communaute@abbaye-de-bassac.com  |  Tel : 06 81 88 15 11

Privilégiez les SMS aux messages vocaux qui souffrent de la faiblesse des réseaux

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Merci pour votre envoi !

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